Le Chef de l'Etat n'a pas la chance d'avoir des bons collaborateurs. Il déplore tout le jour la gestion hasardeuse de l'administration publique qui est dirigée par des moins honnêtes. Aujourd'hui encore le Chef de l'Etat a été scandalisé par un cas de spoliation d'une parcelle d'un compatriote qui lui était proche.
En effet, Félix Tshisekedi Président de la République qui est bon élève de l'État des droits veut être induit en erreur par un Kabiliste pur et dur de l'histoire de la spoliation, violation des droits publics et privés des congolais. Fatshi peut-il avoir autorisé qu'on humilier Honoré Ngwanda ? L'affaire qui défraie la chronique, c'est la tentative de spoliation de la parcelle de l'ancien conseiller spécial du Chef de l'Etat, le feu Honoré Ngwanda sise avenue les cocotiers dans la commune de la Gombe. Cette tentative est dénoncée non seulement les hommes épris de justice mais condamnés avec la dernière énergie par le magistrat suprême, Chef de l'Etat. En effet, le dossier de la parcelle de feu Honoré Ngwanda est sur la table du Chef de l'Etat Félix Tshisekedi, qui on ne sait comprends pas comment une parar quel magie Pius Président de la République Ce qui étonne plus d'une personne, c'est que le ministre de l'urbanisme et habitat veut loger dans cette parcelle un membre de son parti qui est conseiller à la présidence. C'est qui est inexplicable, comment monsieur MWABILU peut-il dire que cette maison est une propriété de l'etat alors qu'il a été achetée par monsieur NGBANDA NZAMBO bien avant qu'il soit nommé conseiller spécial du Maréchal MOBUTU en 1993. ( maison construite par l'architecte SHONGO). Pourquoi Pius MWABILU peut-il ignorer expressément tous les documents mis à sa disposition notamment :
-l''acte d'achat, le contrat, l'acte de notaire, le certificat d'enregistrement la lettre de cession signée par le ministre des travaux publics et habitat de l'époque et le formulaire de dépôt de l'argent à la banque. Face à cette tentative de spoliation d'une propriété privée d'un grand agent des renseignements de l'Etat et d'un compagnon de lutte de liberté, le Président de la République aurait instruit son Dircab de laisser la succession Ngwanda en paix. Nous y reviendrons avec l'acte Il.