La quiétude est troublée ces derniers temps à l’université pédagogique nationale où on observe une mauvaise manipulation pour remettre en cause les efforts fournis par le comité de gestion de cet Université qui a pourtant recouvrée sa robe et sa réputation d’antan.
On récolte actuellement des papillons incitants et manipulant les étudiants à une révolte sans cause.
Cette main noire cherche à mettre la confusion entre d’une part les étudiants et le comité de gestion et de l’autre part, entre le comité de gestion et sa hiérarchie.
Cette main noire cherche une petite occasion pour mettre du feu à l’université pédagogique nationale de Kinshasa.
Apres avoir échoué à politiser, à tribaliser, à influencer ou manipuler le comité de gestion de cette université, ce démon veut maintenant utiliser la délibération des étudiants comme une poudre à mettre au feu.
Les observateurs notent que des actes de népotisme, de favoritisme et du régionalisme sont utilisés pour inciter les uns contre les autres alors que c’est le haut lieu de la connaissance scientifique et de la recherche pour la jeunesse et pour la culture de la méritocratie.
Selon les indiscrétions, la rectrice de l’Université Pédagogique Nationale est victime de sa rigoureuse gestion qui n’accepte pas le bradage des grades académiques ou le favoritisme dans les délibérations alors qu’il y a un groupe d’individu qui se donne à cœur joie dans une pratique Bradage système des grades académiques au profit un clan régional bien identifié. Par son refus de ne pouvoir confondre l’UPN à un poulailler, Madame Docteur Anastasie Masanga est devenue la personne à abattre coute que coute.
Ayant perdu dans des arguments scientifiques, cette main noire utilise maintenant des arguments politiques alors que cette alma mater n’a pas besoin des considérations politiques pour coordonner les activités scientifiques dans une université.
Le but ultime de cette démarche est tout autant vilain et immoral que l'est cette idée de brader le grade de docteur à thèse.
En effet, selon les informations en notre possession, il s'agit d'un vaste complot ourdi contre la République visant à faire contrôler le secteur de l'enseignement supérieur et universitaire par des lobbies assez suspectes.
La suite de la démarche, c'est qu'avant la fin de cette législature, cette multitude des professeurs vont se constituer en un groupe de pression, ils initieront un projet de loi qui vont réglementer les mécanismes d'accès aux postes de responsabilité au niveau des universités et instituts supérieurs du pays.
Sans gêne aucun, cette main noire, concepteurs de ce réseau scientifique maffieux de fabrication bâclée des professeurs à thèse, sont allés voir aussi Madame le Recteur et lui ont demandé d'adhérer à leur entreprise funeste.
Ce dont la Professeure Docteur Anastasie Masanga leur a opposé un non catégorique.
Comme il n'est pas permis à quiconque de tenir tête aux maffiosi, ces gens ont décidé de faire payer très cher à la Rectrice de l'UPN son refus ; refus qu'ils considèrent comme un crime de lèse-majesté.
À la dernière nouvelle, la rectrice Anastasie Masanga condamne et dénonce toute manipulation des étudiants par de main noire pour assouvir leur agenda machiavélique.
Le ministre de l’enseignement supérieur et tout le gouvernement sont alerté pour mettre hors d’état de nuire ce démon de la déstabilisation car les conséquences d’une manipulation des étudiants ont toujours des conséquences fâcheuses.
Nous y reviendrons.
La Rédaction
