Le Directeur Général Bernard Kabese Musangu a réussi à hisser cet Établissement public au diapason des meilleures administration douanière membre de l'Organisation Mondiale des Douanes, Région Afrique Occidentale et Centrale (OMD-AOC). Ce verdict est des observateurs internationaux qui suivent à la loupe le fonctionnement de cette régie financière de la République Démocratique du Congo.
Aujourd'hui, pourvoyeuse des devises nettes au Trésor public, la DGDA reste l'un des acteurs principaux du développement économique de la RDC. Au vu du travail de qualité qu'il ne cesse d'abattre, Bernard Kabese Musangu fait la fierté du Président Félix Tshisekedi, en ce sens son casting a été parfait en nommant aux commandes de la DGDA l'homme qu'il faut pour le rayonnement et l'efficacité de cette régie financière. L'organisation à Kinshasa de la 30ème Réunion du Comité des experts en douane et de la 31ème Conférence des Directeurs Généraux des Douanes de l'OMD-AOC ; deux événements au cours desquels la DGDA a été à la hauteur des enjeux a confirmé le leadership et sens managérial élevé du DG de la douane congolaise. Pour des analystes avisés, cela n'est pas un fait du hasard. Loin s'en faut. Il s'agit bien entendu du résultat d'une vision de gouvernance savamment matérialisée par le Comité de gestion dirigé de mains de maître par le Directeur Général Bernard Kabese Musangu.
La paix sociale gage d’un bon rendement règne à la douane
On se rappelle que lors de sa prise officielle de fonction en juin 2023, il s'est donné pour challenge de faire de la DGDA une administration douanière d'actions et d'excellence. Le manager général de la douane congolaise conscient de la tâche et pour bien réalisé la mission lui confié par le gouvernement a mis son curseur très haut en vue de donner à la douane congolaise sa lettre de noblesse, sa réputation d’antan en restaurant d’abord le bon climat de travail par les conditions de travail sécurisé des agents et cadres de la douane. Dans ce cadre, le DG Bernard Kabesa a rappelé à son administration et à la délégation syndicale sur l’application sans faille des droits et avantages des agents de la douane. Sous son mandat, il y a un climat de paix sociale qui favorise réellement un bon rendement. Ce bon climat de travail est bien constaté à la direction générale comme dans les directions provinciales. C'est aussi pour sa gestion efficace et efficiente des Ressources Humaines que Bernard Kabese est porté aujourd'hui en grande estime par l'ensemble du personnel de la DGDA. C’est sous sa gestion que la DGDA connait une paix sociale durable, et donc un climat serein propice au travail de production de recettes douanières pour le compte du Trésor public. N’en déplaise à ceux qui cherchent un climat malsain dans une administration disciplinée sous le leadership éclairé de big manager Bernard Kabesa. Et ceux qui véhiculent des infox le font pour amuser la galerie ou par jalousie.
L’engagement des nouveaux agents à la douane est-il un pêché
Les vendeurs des vents périmés n’ont plus d’alibi à faire avaler à leurs virtuels clients. Aujourd’hui sans avoir les éléments probants, ils font de l’engagement du nouveau personnel de la douane leurs choux gras. Ils ne font pas d’effort de savoir si réellement il y a eu d’engagement et qui a l’autorité d’engager le nouveau personnel, quelle est la modalité à suivre ou s’il y a besoin d’engagement et dans quel secteur ? Pour ce qui ne le savent pas, compte tenu de l’étendu du territoire, il n’y a pas pléthore à la douane congolaise. D’ailleurs, il y a près de 20 à 30% du personnel vieillissant qui est à ce jour, éligible à la retraite. Donc, il y a nécessité même d’engager mais suite à certaines contraintes, l’engagement est limité. Qui engage ? C’est le directeur général qui a la compétence d’engager les agents mais cela doit obéir à un schéma politique, administratif et financier. C’est à dire que le besoin d’engagement doit-être discuter sur le plan administratif et financier par le conseil d’administration et avalisé par le ministre de tutelle. Ce qui veut dire que le Directeur Général ne peut pas faire n’importe quoi devant le conseil d’administration ou le ministère des finances.
A l’arrivé du Dg Kabesa Bernard, il avait bien confirmé son ambition de redorer la douane à travers l’agent douanier qui est le principal acteur d’une douane d’excellence. Cette excellence sous-entend la compétence de l’agent douanier devant le défi de la connaissance surtout dans un monde qui est devenu un village planétaire grâce à la nouvelle technologie de la communication. Dans ce cadre qu’il avait insisté sur un personnel actif et performant qui s’adapte à la nouvelle technologie de la communication puis que cette dernière, est aujourd’hui un outil important dans le commerce international. Grace à sa politique de gestion, les douaniers sont toujours en formation pour renforcement des capacités car dit-on, on apprend tous les jours. Donc parler de l’engagement est un faux débat.
Allez picoter ailleurs
Lyrence Mbuyi.