Le deuxième vice-président du sénat de la RD CONGO, l'honorable Modeste Bahati Lukwebo est accusé par les proches du Président de la République de prendre de la distance avec le régime de Kinshasa dirigé par le Président Félix Tshisekedi depuis l'avancée de la rébellion dirigé par Corneille Nangaa et soutenue par le Rwanda.
Mais également, il est constaté par l’opinion que plusieurs de ses cadres adhérents dans ce mouvement rebelle. Aujourd’hui, il séjourne en Europe où il a bénéficié d'une autorisation de sortie pour se rendre à Bruxelles signée par le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde après des pressions exercés sur le Président du Sénat qui tergiversait àaccorder l’autorisation à Bahati Lukwebo à se rendre en Belgique pour officiellement un rendez-vous médical.
La sortie de l’autorité morale de l’AFDC Modeste Bahati Lukwebo pour Bruxellespour raison de santé est commenté par les caciques du pouvoir comme un voyage non pas de santé mais plutôt politique car pour eux, Bahati Lukwebo compterait quitter l’union sacrée plateforme de la mouvance présidentielle.
Pour peut-être, trop de déception, puis qu’il a toujours dénoncé l’injustice dont il fait l’objet au sein de l’union sacrée. Mais pour cela, il vafaire allégeance à la rébellionpro-rwandaise à partir de Bruxelles ?
On ne peut pas le confirmer. Ce qui est vrai, l’autorité morale de l’AFDC est frustrée et même déçue de la manière où il est considéré dans la plateforme politique du Chef de l’Etat. Il a dénoncé ça plusieurs fois dans les médias qu’on ne tient pas compte de son poids politique dans le partage des responsabilités.
Bahati Lukwebo n’a pas fait allégeance à la rébellion cependant, il n’est plus l’animal politique d’hier engagé derrière le Chef de l’Etat congolais comme avant.
L'homme de Katana n'a plus le sentiment de soutenir le régime de Tshisekedi car il déplore de ne pas être considéré par ce régime.
Il a plusieurs fois fait pression pour qu'on tienne compte de son poids politique dans la formation du gouvernement, la mise en place dans les entreprises du portefeuille tout comme dans les compositions des bureaux de deux chambres parlementaires.
Mais ce qui est vrai, l'homme est déçu de ce régime. Il tente de gérer son avenir politique et en tant qu’homme d’affaires, assurer la sécurité de ses investissements dans la partie occupé par la rébellion.
L’intelligent
