Pour avoir respecté les dispositions statutaires sur le recrutement et le mouvement du personnel, le pauvre Dg est devenu l'homme à abattre.
Selon les informations concordantes, le climat de travail se détériore au Fomin. Pour cause, il y a un groupe non reconnu officiellement par l'administration de cet établissement décident de salir la prestigieuse réputation de Fomin et de son Directeur général en complicité avec quelques cadres au motif qu'ils sont marginalisés, qu'ils ne sont pas rémunérés pendant quatre mois. Mais après vérification des faits, il s'avère qu'il n'y a pas d'arriérés des salaires ni des primes des agents à cet établissement.
Mais qui sont ces agents et pourquoi décident-ils de désacraliser le Fomin ?
Selon certains agents honnêtes de cet établissement qui ont pris le courage de s'exprimer, les fauteurs de trouble d'aujourd'hui qui réclament salaires, ne sont pas reconnus par l'administration comme agents de Fomin simplement, parce qu' il y a un peu plus de quatre mois passé, le Directeur général de Fomin avait de souci avec la justice et l'autorité compétente avait décidé de confier l'intérim avec un pouvoir strictement limité à l'intérimaire. Malheureusement, l'intérimaire est passé outre. Il a recruté des agents sans tenir compte de ses prérogatives, de la disponibilité de place vacante encore moins de la capacité financière de l'établissement de prendre en charge près 100 agents à un seul coup.
Revenu de ses fonctions, le Directeur général, sur instruction de la haute hiérarchie, a été sommé de ne pas tenir compte de toutes actes posés en dehors des compétences confiées à l'intérimaire.
Le coup vise à déstabiliser le Fomin
Pour des observateurs avertis, la bonne réputation de cet établissement est mise en cause par la violation délibérée des dispositions statutaires. Car ces dispositions comme par le communiqué du Directeur du cabinet du Chef de l'Etat, nulle part on confère à un intérimaire les droits d'engager, de permuter ou de promouvoir les agents en grade. Vouloir marcher en dehors des prescrits établis est une rébellion contre le Chef de l'Etat et le ministre de tutelle. Et demander un droit sans en avoir la qualité est une infraction que ces intrus ne se rendent pas compte. Vouloir perturber la quiétude d'un service de l'État sans avoir la qualité est une infraction.
C'est pourquoi, il est conseillé aux fauteurs de trouble de chercher d'abord à régulariser leur situation d'embauche que de souiller la réputation d'un service qui s'est construit au moyen des sacrifices.
Nous y reviendrons.
La rédaction
